CHAPITRE UN - Bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla.


CHAPITRE DEUX - Qu'est-ce que je foutais ici ?! Je vous le demande ! Si quelqu'un apprenait ce que je m'apprêtais à faire vous pouvez être surs que je serais morte décapitée dans la seconde. J'entrais pour la première fois dans sa chambre d'hôtel, c'était son idée, c'était lui qui m'avait demandé de venir et moi bien entendu idiote comme je suis je n'ai pas sut refuser, après tout c'était Mathéo .. J'attendais juste des explications sur son attitude c'était pour ça que j'avais accepter cette rencontre et pour rien d'autre ! Nous étions tout les deux dans sa chambre, lui assis sur sa chaise et moi sur son lit, les discussions étaient variées et j'étais tellement nerveuse que je ne m'arrêtais même plus de parler. Il vint finalement se coucher sur son lit m'obligeant à m'allonger également pour pouvoir lui parler en face. « Bon, tu voulais que je te raconte ... » Enfin il abordait le sujet pour lequel j'étais ici, je me retournais vers lui pour l'inciter à continuer « Enfaite, quand Pepper et moi on s'est remit ensemble il y a ... » « Un an ... » « Ouai, bah c'était super elle était enthousiaste, motivée et tout et depuis quelques temps elle a plus envie de rien, elle s'en fout de tout .. Tu vois ? Elle veut plus rien faire et c'est pour ça que parfois - enfin hier - j'ai eu ce genre de pulsions ... » Je l'avais écouté d'une oreille attentive et je continuais de le fixer cherchant quoi répondre à ça. Je n'avais aucune idée de si je devais le croire ou pas, en deux jours il avait anéanti tout ce que je pensais savoir sur lui rien qu'avec ses textos plus qu'explicites alors comment savoir ce qu'il pensait réellement ? « Tu sais, y a un an tu m'aurais dit ça, j'aurais jamais hésité mais la ... » Autant jouer carte sur table maintenant de toute façon c'était de l'histoire ancienne ce que j'allais lui dire « Ouai, je sais » « Tu sais quoi ?! » comment ça il savait ?! C'était impossible ! IMPOSSIBLE ! J'étais pourtant discrète au plus haut point, comment pouvait-il savoir ?! « Disons que j'avais entendu à propos de ta petite attirance .. » je me sentis rougir légèrement, heureusement que la chambre était plongée dans la pénombre, qu'il ne voit pas spectacle pitoyable. « Petite ... marmonnais-je enfin bref, tout ça pour dire que je ne veux juste pas avoir de problèmes avec elle. » j'étais sur le point de faire une connerie plus grosse que moi mais c'était comme si je redevenais une gamine ayant une montée d'adrénaline juste jouissive avant de faire une bêtise et ça me plaisait ! « Si aucun de nous ne dit rien, il n'y a pas de raisons qu'elle l'apprenne. » Il n'avait pas tort, aussi je n'opposait pas plus de résistance et nous continuions nos discussions variées jusqu'à ce que tout commence par cette simple phrase « Tu m'avais aussi dit que tu me sauterais dessus et tu l'as as fait ! » c'était une provocation et j'avais pour principe de répondre aux provocations, je m'employais à essayer de chatouiller Mathéo et quand je relevais les yeux, nos visages étaient proches, beaucoup trop proches ... Ses lèvres se posèrent délicatement sur les miennes pour la première fois et c'est ainsi que tout a commencé. « Tu veux aller plus loin ? » rompant le baiser il me regarda dans les yeux et j'acquiesçais d'un geste de la tête alors qu'il déposait une nouvelle fois un baiser sur mes lèvres « Nan mais si je te demande ça c'est parce que .. ce sera ta première fois et je veux pas que tu me le reproche .. » « Je te reprocherais rien du tout ! » « Tu me le jure ? » « Juré ! », les baisers reprirent et je n'ai pas besoin de vous faire un dessin, vous imaginez bien ce qui s'est passé par la suite ..


CHAPITRE TROIS - Cette porte, je l'avais passé tellement de fois déjà, enfaite six en tout, c'était comme une habitude à présent mais aujourd'hui je sentais que tout allait être différent. Comme à son habitude il m'attendait sur le pas de la porte, un petit sourire quand j'entrais accompagné d'un « Salut » pas de baiser, pas de bises, rien. Je ne m'occupais pas de vérifier s'il me suivait et me rendait directement dans sa chambre où je m'asseyais sur son lit attendant patiemment. Lorsqu'il rentra à son tour dans la pièce nous commençâmes à discuter de tout et de rien, comme d'habitude alors qu'il s'allongeait sur le lit et que je m'étendais à ses côtés. Une dizaine - ou peut-être deux - de minutes s'écoulèrent alors que nous riions et parlions de choses et d'autres puis ce qui devait arriver arriva, nos lèvres se touchèrent tendrement comme si c'était la chose la plus naturelle qui puisse être, puis ses mains se posèrent dans mon dos pour m'attirer contre lui et je sentis un frisson d'excitation mais c'est à ce moment la que tout allait changer. Lentement je me retirais de lui, mes lèvres à deux centimètres de siennes « Tu sais, peut-être qu'on devrait arrêter de se voir ... » je le sentis se reculer et me fixer alors j'ouvrais les yeux et me rendis compte de son air surpris et inquiet à la fois. « Pourquoi ?! ... Je savais que tu allait me le reprocher un jour ... » je le regardais à présent dans les yeux tentant un sourire alors que je posais ma tête sur son torse me serrant contre lui « Je ne te reproche rien, c'est juste que je sais qu'un jour .. Je retomberais amoureuse de toi, et je sais aussi que si c'est le cas je souffrirais parce qu'un jour tu devras faire un choix et on sait tout les deux lequel tu feras .. je ne veux pas souffrir .. » en réalité je n'allais pas retomber amoureuse de lui, j'étais déjà entrain de retomber amoureuse, ce qui était une très mauvaise chose dans notre relation, il fallait donc que je mette tout au point avec lui « Ah oui ?! » cette question faisait référence au choix dont je venais de parler et elle ne me fit pas rire, son air surpris ne prendrait pas avec moi c'est d'ailleurs pour ça que je ne prenais même pas la peine de répondre. « Tu sais, je crois que je suis amoureux de toi ... » à ces mots je me relevais d'un coup en position assise, toujours à côté de lui et le regardais dans les yeux, sérieuse et n'ayant pas du tout envie de rire « Non ! Je t'interdis de dire ça ! C'est pas vrai ! » « C'était un jeu pour moi au début, mais aujourd'hui je n'ai plus seulement envie d'être avec toi pour le sexe, j'ai envie de te voir juste toi, de t'entendre rire et de discuter avec toi, c'est toi tout entière que je veux, pas juste ton corps. » je me levais rapidement pour me poster devant le lit et fixer mon amant dans les yeux, ce qu'il pouvait être beau mais je ne devais pas y penser, je devais me fermer à tout ces sentiments, je devais me blinder parce que c'était ce que j'avais de mieux à faire. « Nous deux ... ça ne pourra jamais rien être de plus que du sexe .. Toi et Elle vous étiez le couple parfait à mes yeux, celui à qui tous les couples veulent ressembler, je ne peux pas cautionner que ce soit moi qui brise tout ça. Tu ne peux pas être amoureux de moi. Faut que j'y aille. » un dernier regard et je pris mes affaires en direction de la porte d'entrée. Il ne m'avait jamais été aussi difficile de faire abstraction de mes sentiments qu'en cet instant, j'avais voulu entendre ce qu'il venait de me dire tellement de fois mais je savais que je faisais le bon choix en partant. « Ne pars pas ... » sa main s'était refermé sur mon poignet alors que je marchais dans le couloir, me forçant à me retourner et à le regarder. « Je t'aime, je suis désolée. » je me hissais sur la pointe des pieds pour déposer un dernier baiser tendre sur ses lèvres puis je m'en allait pour de bon le laissant seul dans sa chambre d'hôtel.


CHAPITRE QUATRE - « Je suis enceinte. » moi, la petite gamine de même pas dix-huit ans je me retrouvais dans ma salle de bain, un test de grossesse à la main, les larmes roulantes sur mes joues, face à Meaghan qui s'avança vers moi et me prit dans ses bras « T'inquiète pas petite soeur, ça va aller. » je la serais fort dans mes bras, je n'avais aucune idée de comment ça allait se passer, j'étais terrorisée et j'en voulais à Mathéo, parce que c'était forcement lui qui m'avait fait ça, ça ne pouvait être personne d'autre ! Alors que je me desserrais de son étreinte ma mère entra dans la pièce « Jax, t'aurais pas vu le ... » son regard se posa sur moi, j'étais encore en pleurs et il ne fallut pas longtemps pour qu'elle remarque ce que je tenais en main et que son visage perde son grand sourire habituelle. « Est-ce que c'est .. ? » je ne répondis pas, je laissais Meaghan acquiescer de la tête. « Comment ? » à nouveau je ne répondis pas et je restais également muette lorsque ma soeur racontait toute l'histoire à ma mère, parce que évidemment Meg était au courant de tout, absolument tout, nous avions cette relation que beaucoup nous envient, deux soeur que rien ne peut séparer et qui se comprennent tellement bien qu'au bout du compte ce sont les autres qui ont du mal à les comprendre parfois. Pour en revenir à la scène qui se déroulait devant mes yeux, ma mère me fixait un air désolé collé au visage, je ne savais plus où me mettre, j'avais tellement honte et peur à la fois. « Je suis désolée » ce furent les seuls mots qui réussirent à franchir mes lèvres, les larmes continuaient à couler alors que je me rendais compte que je tremblais. Je savais ce qui m'attendais, les dizaines de questions que j'aurais à me poser, avec la plus importante : vais-je le garder ?, les regards en coin si c'était la cas, les conséquences dans ma vie de jeune fille de même pas dix-huit ans, je n'étais vraiment pas prête pour ça, vraiment pas .. Peut-être que ce n'était qu'un juste retour des choses après tout, quelqu'un m'a dit un jour que pour chaque bonne action que l'on fait, une bonne chose nous arrive je me dis que le contraire est également vérifiable, pour chaque action immorale que l'on fait on s'en prend plein la gueule ! Oui, j'avais couché plusieurs fois avec un garçon en couple, mais ce n'était pas encore de ma faute si sa copine ne sait pas satisfaire Mathéò si ?! Quand j'y repense je me dis que ma mère a plutôt bien prit la nouvelle, parce que apprendre que sa fille n'est plus vierge parce qu'elle a couché avec un garçon plus vieux qu'elle déjà pris par une autre et en même temps qu'elle est enceinte de ce même garçon ça doit faire un gros choc ! Mais ça avait plutôt été comme si elle s'en doutait au fin fond d'elle - pour Mathéò hein pas pour le fait que j'étais enceinte - alala ma mère, elle a toujours sut lire entre les lignes en ce qui me concerne ...


CHAPITRE CINQ - « Jax, les hippies du bungalow deux ont refait des leurs ! » je soupirais bruyamment et me levais de ma chaise en posant mon livre sur la table en face de moi. « Je m'en occupe » Sur ces mots je me dirigeais vers le site des bungalows pour me retrouver face au numéro deux, il me fallut en tout et pour tout deux secondes pour savoir ce que le Hippies avaient encore fait comme bêtise, un panache de fumée s'élevait derrière le bâtiment. « Monsieur Hudson ! je vous ai déjà dit plusieurs fois que si vous voulez faire cuir quelque chose vous avez une cuisine équipée dans le bungalow ! » Je ne laissais pas le temps au quadragénaire de répliquer que j'éteignais le feu de camp avec un saut d'eau qui trainait pas là. « C'était un feu de joie, apportant la paix aux habitants Mlle Jax, pas un feu de camp ! » sa voix était trop calme comme à son habitude et moi je me contentais de lui sourire aimablement « Monsieur Hudson, si vous vouliez faire des feux de joie il fallait prendre un emplacement de camping et non un Bungalow .. » l'homme avait une quarantaine d'année mais quelques fois il paraissaient en faire vingts de plus c'était assez effrayant, y a pas à dire j'adorais ce métier ! Je finis par raccompagner Mr Hudson dans son bungalow alors que sa femme haute en couleurs arrivait les bras chargés de ce que je pensais être des épices. Cela ne me disait rien qui vaille et je ne doutais pas qu'on m'appellerait à nouveau dans une quinzaines de minutes pour un problème au Bungalow numéro deux mais en attendant je me contentais de saluer la dame et de partir en direction de l'accueil. « Tatie jax !!!! » je n'eus pas le temps de me retourner que quelque chose m'aggripait violemment la taille me faisant presque tomber. Un sourire radieux aus lèvres je découvrit le petite garçon de trois ans qui se tenait à moi et qui avait le même air ravi. Oui, j'ai bien dit trois ans et ce petit bout m'a effectivement appelé Tatie, vous vous doutez bien qu'il y a peu de chance pour qu'il y a trois ans ma soeur et moi soyons tombées enceinte en même temps n'est-ce pas ? « Hey Matthéo ! Comment tu vas Dude ? » je lui tendis ma main et il tapa dedans de toute ses forces en me souriant « ça va ! Papi m'a dit que tu étais allé voir les gens bizarre de cette cabane ! » il montrait le Bungalow numéro deux du doigts et sa réplique me fit rire « Un Bungalow Matthéo, ça s'appelle un Bungalow ! » je le pris par la main en l'invitant à me suivre pour qu'on aille retrouver sa maman, qui en réalité ne l'était pas tant que ça puisque, vous l'aurez deviner ou pas, il s'agissait bien de mon fils et non de celui de ma soeur, mais elle l'avait adoptait, à dix-sept ans j'étais bien trop jeune pour avoir un enfant et elle bien trop envieuse d'en avoir un. La situation peut paraitre étrange mais en réalité elle ne l'est pas et elle me convient parfaitement.

Prénom/Pseudo : Napster Age : je vais avoir 111 ans cette année, si c'est pas beau ça ! Fille ou Garçon : Un peu les deux Pays/Ville : Bourg-Palette mais je voyage beaucoup en général, vous savez la chasse au Pokemon tout ça .. Fréquence : 6/7 Où as-tu connue le forum : J'ai oublier, Alzheimer quand tu nous tiens. Autres :